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Le viager, une histoire de contrat gagnant/gagnant

Posté le 23 juillet 2012

Le viager est un contrat équilibré, c’est une certitude. Pour vous en parler concrètement, nous avons choisi de vous raconter une petite histoire. Laissez-nous vous présenter Madame Pelletier, ainsi que Monsieur et Madame Grimaud ; voyons comment et pourquoi ils ont choisi ensemble le viager occupé, et … parlons chiffres !

Le chemin de Madame Pelletier vers la solution du viager…

Connaissez-vous Madame Pelletier, cette charmante retraitée de 78 ans ? Madame Pelletier n’a pas d’enfants, mais elle est très attachée à ses neveux et adore les recevoir à déjeuner, chez elle, le dimanche. Précisons que Madame Pelletier est propriétaire d’un bel et spacieux appartement de 55 m² à Paris, où elle conserve ses beaux souvenirs… et ses petites habitudes. Dans son quartier, tout le monde la connaît ; son boulanger n’oublie jamais de lui mettre son pain frais de côté. En somme, c’est une vie tranquille et heureuse que mène Madame Pelletier.

Mais, depuis quelques temps, tout devient plus cher, plus compliqué. La pension de retraite de 1280 euros que perçoit chaque mois Madame Pelletier ne parvient plus à couvrir ses dépenses courantes. Et les frais liés à sa copropriété se sont récemment alourdis : mise aux normes des ascenseurs, rénovation des parties communes… Pourtant, Madame Pelletier ne souhaite pas s’endetter ni solliciter sa famille, bien au contraire ! Certes, son appartement a été évalué à 450 000 euros, elle pourrait le revendre… mais ensuite ? Il faudrait en acheter, ou en louer un autre, peut-être plus petit, et changer de quartier… Et que de démarches pesantes, de tracas en perspectives… Non, déménager, vous n’y pensez pas !!! Soudain, Madame Pelletier se souvient de l’une de ses amies qui a vendu avec bonheur son appartement en viager occupé. Ni une, ni deux, elle contacte une agence spécialisée en viager.

Monsieur et Madame Grimaud, eux, cherchent à investir en viager

De l’autre côté de la ville, Monsieur et Madame Grimaud ont des journées bien remplies par leurs activités professionnelles. A un âge proche de la cinquantaine, ils élèvent leurs deux enfants de 15 et 21 ans. Soucieux d’assurer à toute la famille un avenir confortable, Monsieur et Madame Grimaud songent à investir dans un bien immobilier. C’est un héritage récent de 150 000 euros qui a déclenché leurs démarches en ce sens. Cependant, cette somme reste insuffisante pour l’achat d’un bien correspondant à leurs attentes. En outre, ils n’ont pas besoin d’un logement dans l’immédiat. Respectivement journaliste et cadre supérieur, Monsieur et Madame Grimaud peuvent se permettre d’épargner ensemble 1500 euros par mois. Dans ce contexte, l’option d’un achat en viager leur paraît la solution la plus adaptée. Ils s’adressent, eux aussi, à une agence spécialisée.

Quelques temps, et deux « happy ends » plus tard…

Madame Pelletier, Monsieur et Madame Grimaud ont aujourd’hui trouvé leur bonheur, grâce à l’agence en viager qui les a mis en contact et leur a permis de trouver un accord.

  • Madame Pelletier est aux anges. Elle vient de percevoir son bouquet : 120 000 euros ont été versés sur son compte dès la signature du contrat !
  • Elle peut ainsi faire une donation à ses neveux comme elle en rêvait. Et continuer à les accueillir chez elle le dimanche, dans cet appartement qu’elle habitera jusqu’à la fin de ses jours.
  • Madame Pelletier est désormais assurée de recevoir ad vitam une rente mensuelle de 1035 euros, en plus de sa retraite de 1280 euros : les soucis financiers se sont éloignés. D’autant qu’elle n’a plus à payer la taxe foncière, ni les gros travaux de copropriété. Elle vient même d’engager une aide à domicile : envolée, la fatigue liée au ménage et aux courses !
  • Monsieur et Madame Grimaud sont heureux et rassurés. Ils ont acquis la nue-propriété du bel appartement de Madame Pelletier pour 261 000 euros, soit 58 % de la valeur vénale du bien : un excellent investissement.
  • Ils acceptent volontiers le risque de payer davantage, ce qui arrivera si Madame Pelletier vit au-delà de 91 ans. Car, quoi qu’il arrive, seule la solution du viager occupé leur aura permis de réaliser une telle transaction immobilière, de préparer leurs compléments de retraite, et de mettre leurs enfants à l’abri du besoin.
  • Monsieur et Madame Grimaud ont enfin la satisfaction de rendre service à une Madame Pelletier heureuse, qui peut désormais vivre sereinement sa retraite.

 Image: FreeDigitalPhotos.net